Hommage aux morts pour la France


 

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Le mardi 5 décembre, à l’occasion de la Journée nationale d’hommage aux morts pour la France, aux rapatriés, aux personnes disparues et aux victimes civiles pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de Tunisie, les Écoles militaires de santé de Lyon-Bron ont participé à la cérémonie organisée par la Ville de Bron au cimetière municipal ainsi qu’à la cérémonie métropolitaine qui a eu lieu au mémorial dédié aux anciens combattants du Rhône morts en Afrique du Nord et situé au parc de Parilly.

Au cimetière de Bron, en présence du pharmacien en chef Lacroix, commandant en second des Écoles, le maire de la ville, Jérémie Bréaud s’est exprimé : « Cette journée, dédiée à l’hommage national aux morts pour la France, nous rappelle que la mémoire est un précieux héritage que nous devons préserver ».

Aux côtés des présidents d’associations d’anciens combattants, des représentants des autorités civiles telles que la Région, le Département, la Métropole et la Ville de Lyon, le médecin général inspecteur Ausset, commandant les EMSLB, et un piquet d’honneur composé de 10 aspirants-médecins étaient présents à la cérémonie organisée au mémorial du parc de Parilly.

Chaque année, depuis le 5 décembre 2003, date de l’inauguration du mémorial du quai Branly, la France rend ainsi hommage aux 24 000 soldats français tombés en Afrique du Nord, dont 450 environ originaires du département du Rhône.

« Il y a désormais 20 ans que, chaque 5 décembre, la République rend hommage à tous ceux qui sont morts pour la France en Algérie, au Maroc et en Tunisie. Hommage tardif voulu par un président de la République qui connaissait le prix de cette guerre. Le monument du quai Branly qu’il inaugura il y a 20 ans est devenu le mémorial de toutes les mémoires nationales qui s’y rapportent.(…) Plus de 61 ans après la fin du conflit, l’héritage de la guerre d’Algérie est marqué des souffrances qu’elle a créées comme des passions qu’il suscite. Il reste des blessures encore lancinantes sous des cicatrices difficilement refermées » a déclaré Patricia Mirallès, Secrétaire d’Etat auprès du ministre des Armées, chargée des Anciens combattants et de la mémoire, dans un message lu lors des deux cérémonies d’hommage.

 

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